Les Lions indomptables ont été battus vendredi 1er septembre 2017 par les Super Eagles du Nigeria au stade d’Uyo par un score de 0 but contre 4. A l’occasion de la troisième journée des éliminatoires du Mondial Russie 2018. Du coup les camerounais ont trouvé une manière particulière pour se consoler face à cette lourde défaite.
vendredi 1er septembre 2017, les Lions indomptables champions d’Afrique de football ont mordu la poussière à Uyo au Nigeria, face aux Super Eagles. Score du match Nigeria 4 Cameroun 0. C’était à l’occasion de la troisième journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2018 qui se jouera en Russie. Fans de football, les camerounais n’ont pas digéré cette défaite. Et sur les réseaux sociaux chacun exprime à sa manière son indignation ou encore sa déception.Et d’autres leur consolation. Ainsi les Lions indomptables font depuis hier l’objet des moqueries et railleries multiples. Fabrice Ondoa, le portier est traité de tous les noms pour avoir encaissé 4 buts. Tous les autres joueurs sont victimes des mêmes moqueries et critiques incontrôlées.
Ceux qui se consolent , se sont inspirés de la chanson de l’artiste Ghislain Dimai « On ne vous a pas laissé? » pour s’adresser au Super Eagles du Nigeria. Aussi peut-on lire ici et là sur les réseaux sociaux « On vous laisse la Can, vous voulez discuter la Coupe du monde avec nous pourquoi. On ne vous a pas laissé? » ou encore « Je dis hein, les Lions ont fait quoi aux Super Eagles pour être tabassés comme ça! Ils ont un problème de fille(s) au quartier? ». D’autres écrivent avec un brin d’humour « je suis sûr que le Nigeria veut déstabiliser le Cameroun après la Caf et la Fifa » et » Si les nigérians nous mettent 4 buts, ce n’est pas par ce qu’ils sont plus forts que nous,nooooon! On les a seulement laissés.. » .Des réactions qui font marrer les camerounais depuis la défaite honteuse de leur équipe face au Nigeria. Les plus inspirés ont même monté une photo d’un Lion malade(photo) avec à son chevet des médicaments qu’il doit prendre afin de retrouver sa forme habituelle.
C. Laure Kiahi