Organisé du 11 au 14 juillet 2019 par l’Association flamant d’art et de développement socioculturel et le Conseil international des organisations de festivals de folklore et d’arts traditionnels-Maroc (CIOFF),le Festival international du folklore traditionnel d’Agadir (FIFTA)se tient sous le thème «La culture et le patrimoine, piliers du développement touristique». Quatre pays du continent y prennent part.
Les participants, artistes, intellectuels, professeurs, journalistes et des troupes folkloriques viennent de la Corée du Sud, invitée d’honneur de cette deuxième édition, la Grèce, la Tunisie, l’Indonésie, la Côte d’Ivoire, les Comores, le Cameroun et la France.
Selon le Comité d’organisation « le Fifta est une grande manifestation où se réunissent plusieurs chanteurs, poètes et troupes folkloriques et d’arts populaires, nationales et internationales, pour échanger, célébrer la richesse et la variété des arts et des cultures à travers le monde. Fifta est également une occasion pour diffuser les valeurs d’ouverture, de partage, de tolérance et de coexistence entre les différentes cultures et civilisations».
Les questions relatives à la culture, aux arts, tourisme et à l’économie seront abordées dans l’optique de mettre en valeur les potentialités touristiques et économiques de la région du Souss-Massa, et de la ville d’Agadir présentée comme l’une des meilleures destinations touristiques au Maroc. Une ballade touristique est d’ailleurs prévue pour les 120 invités et artistes internationaux Invités.
Ce festival sera aussi marqué par un colloque international, sous le thème «La culture et le patrimoine, piliers du développement touristique», organisé en partenariat avec la Faculté des lettres et des sciences humaines de l’Université Ibn Zohr, l’association Oupram, et le Laboratoire de recherche en société, langage, art et médias (Larslam). A celà s’ajoutent des masters class et workshops, une conférence du Conseil international des organisations de festivals de folklore et d’arts traditionnels– Maroc. Bon festival à tous.
Ericien Pascal Nguiamba